19personnes à la recherche des bombes en ciment.......si, si, demandez à Maurice.
Enfin, moi j'en ai vu qu'une pour l'instant...
Et ses consignes étaient "A droite, à gauche !".
Voilà comment nous avons parcourus la forêt.
Et voilà, c'est parti pour la forêt.
Beaucoup, beaucoup de ces fleurs dont je ne sais le nom.
Et là, c'est parti pour le galop.
Super beau temps, tres agréable.
Une belle équipe dans une belle allée.
Pour finir par une bonne dizaine de kms.
De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
caressée une fois, rien qu'une.
C'est l'esprit familier du lieu ;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire ;
Peut-être est-il fée, est-il dieu.
Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant
Se retournant docilement
Et que je regarde en moi-même,
Je le vois avec étonnement
Le feu de ses prunelle pâles
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.
(Charles Baudelaire)
21 personnes,19 kms à parcourir à travers la campagne gersoise.
Et heureusement, tres beau temps.
Et voilà la troupe est partie...A priori des semis de melons sous plastique.
On file le long du lac.
Puis le "Pont de Cologne" au dessus de la voie ferré.
Bientôt nous serons arrivés à Gimont pour le casse croute au bord du lac, en attendant nous suivons la "Gimone".
Bien sympa cet endroit:deux petits étangs.
Et bien sùr les semis, c'est parti.....
Et pour finir l'église de Giscaro.
Vous pouvez juger du beau temps: 22°.
Rando du 17 mars.
Merci à Jean Claude.
14 personnes pour faire notre circuit de 15 km, par un tres beau temps.
Nous allons démarer de ce panneau à Mervilla,apres avoir écouter le circuit démontré par notre guide Maguy.
Nous voilà parti à travers la campagne, en direction de ...
la table d'orientation.
Quelques unes commencent à crier famine, et un peu plus loin nous attend l'endroit idéal.
Le désert? que non,c'est que nous repartons en direction de Rebigue...
pour la troisième fois.L'affiche du théâtre ne croyait pas si bien dire:nous avons failli y rester.
Ce puits, çà fait trois que j'y passe devant et je me décide à le prendre en photo.
Nos célèbres violettes.
Encore une petite montée, et nous allons retrouver Mervilla.
Finalement, pas mal de tours et contours, pour se retrouver trois fois à ce fameux Rebigue.
Plutôt une rando de reconnaissance???
Mais qui fut malgré tout tres agréable, en compagnie de notre chère Maguy.(On s'en souviendra)
Merci à toi.
22 personnes pour partir en direction de Pujaudran, et dont le fameux "bois de Lastur".
On file dans le bois de Lastur, mais alors, pas mal saccagé lors de la dernière tempête.
Les chevaux de Fontenillles.
Un peu de gaieté avec ce parterre de fleurs mauves.
Il paraît qu'on aperçoit Ramonville...
Et voilà le travail.
Nous avons dù escalader des troncs, mais ce fùt tout de même une belle rando de 10 kms par une belle apres midi ensoleillée.Vers la fin: 18°.
Il faut toujours avoir une araignée chez soi... et l'observer souvent, puisqu'elle modifie sa toile toutes les 24 heures, pour l'adapter aux conditions climatiques du moment.
Si l'araignée renforce sa toile et raccourcit les haubans, c'est qu'elle sent qu'il va pleuvoir ou venter. Si elle reste inactive, la pluie est très proche.
Araignée tissant, mauvais temps.
Le matin, s'il y a peu ou pas de rosée, elle sort, la pluie peut arriver.
Araignée du matin, chagrin.
Et voici la suite de mon article précédent avec quelques photos de Penne et son château, d'ailleurs en cours de restauration.
Le brouillard était au rendez vous.
Perché 120 mètres au-dessus de la rivière Aveyron, le château de Penne domine fièrement la vallée. Accrochée à son piton rocheux, cette forteresse médiévale a subi les assauts du temps.
Depuis 2006, un jeune architecte du patrimoine de Toulouse a décidé d'entreprendre sa sauvegarde.Tarn-et-Garonnais de naissance, il s'est tapé la tête contre les vieilles pierres depuis sa plus tendre enfance. L'amour de ces chefs-d'œuvre en péril est une tradition familiale. « Si ce n'est pas un "barge" comme moi qui tente l'aventure, qui le fera ? » s'interroge en souriant Axel Letélier. D'autres s'y sont essayés.
Et dans le village, beaucoup l'ont vu arriver comme un nouvel hurluberlu. « Je veux sauver le site de la ruine pour l'ouvrir au public. On s'était fixé 5 ans pour y parvenir mais l'ouverture probable devrait plutôt se situer à l'été 2010. »
Axel Letélier a réussi à obtenir le soutien de l'État par le biais du service départemental de l'architecture et du patrimoine. La Région participe également au financement des travaux. « Elle a apporté 15 % pour l'année 2008 et le département devrait suivre à la même hauteur ».
Chaque tranche annuelle de travaux représente un coût d'environs 80 000 euros.
Depuis le mois de septembre, Axel Letélier s'est offert les services d'un tailleur de pierre. Frédéric Jacquet travaille à plein-temps sur le site. Un rêve de gamin se réalise pour le jeune artisan.
Les deux hommes, au-delà de leur regard de professionnel de la pierre, retrouvent leurs yeux d'enfants lorsqu'ils évoquent ce passionnant jeu de construction grandeur nature.
Et pourtant, si haut perché, en plein-vent, le chantier n'est pas des plus confortables.
Les échafaudages reposent sur du vide, les murs tiennent encore par une main invisible.
« La première année, nous avons travaillé sur le mur de la chapelle. Pour 2008, nous nous sommes attaqués au châtelet avec la consolidation des arases. Il faut aussi sécuriser les lieux où circulera le public. »
Avec le tailleur de pierre, deux entreprises spécialisées dans ce genre d'édifice interviennent sur le château.